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SHE WAS DANCING

photo : "She was dancing" - Nikolaz Le Coq

Création 2017

Chorégraphie : Valeria Giuga

Danse : Valeria Giuga, Aniol Busquets, Antoine Arbeit

Batterie, voix : Jean-Michel Espitallier

Conception musicale : Valeria Giuga et Jean-Michel Espitallier

d'après le texte de Gertrude Stein "Orta or one dancing"

Lumières : Sylvie Debare

Costumes : Catherine Garnier

Coproductions :

Les Bazis (09), Mac-Val  Musée d'art contemporain du val de Marne (94), VIADANSE/Direction Fattoumi-Lamoureux CCNBFC à Belfort (90), L'ADECC (Agence de Développement de l'Economie Culturelle du Couserans 09), ADDA du Tarn (81)

avec le soutien de :

résidences de création lumières CDC de Toulouse (31), Espaces pluriels  - scène conventionnée danse pau (64)

résidences de création : CENTQUATRE- Paris (75) (résidence), Carreau du temple (75),  StudioLab-Ménagerie de verre (75)

résidence d'enregistrements : Maison de la Musique Cap découverte (81)

accueil studio : CND de Pantin (93)

Subventions :

DRAC Occitanie, Région Occitanie, Département de la Haute-Garonne (31)

avec l'aide de la Spedidam

SHE WAS DANCING est la rencontre de La Mère d’Isadora Duncan (1921) et du portrait qu’a fait Gertrude Stein de la chorégraphe dans un texte de 1912. Valeria Giuga transpose cette rencontre en un jeu de par-cœur du poème et de la danse mêlés.

Le morcellement et les altérations originels de la danse duncanienne laissent ici la place à une nouvelle gestuelle radicalement épurée.

Les mouvements des trois interprètes, strictement écrits, sont générés par les mots du texte de Stein, boucles et jeux de permutations, selon le montage qu’en propose Jean-Michel Espitallier.

La sécheresse rythmique de la pièce, qu’accentue une lecture monocorde doublée d’un métronome, installe bientôt une litanie hypnotique, à la fois sonore (lecture strictement cadencée) et visuelle (chorégraphie strictement écrite). Dans cet agencement, les trois interprètes en perruque ne sont pas sans évoquer quelques personnages beckettiens, drôles mais un peu pathétiques, désespérément appliqués, à l’unisson d’un ballet mécanique.

Jusqu’à ce que les rythmes de la batterie de Jean-Michel Espitallier viennent enrayer cet ordonnancement et l’emmène vers un finale plus groove et délicatement chaotique.

Calendrier :

27 mars 2020 : Signes de printemps, Regard du cygne, Paris (75) REPORTÉ COVID

 

03 décembre 2020 : Signes d'automne, Regard du cygne, Paris (75) REPORTÉ COVID

17 février 2021 : Signes de printemps, Regard du cygne, Paris (75)

c'est passé

14 septembre 2017: Festival Poésie dans le chais - Espaces pluriels,  Pau (66)

02 au 09 novembre 2017: accueil studio au CCN de Franche-Comté à Belfort (90)

21 novembre 2017: TU de Nantes (44)

07 décembre 2017 :  La Grande Scène des Petites scènes ouvertes, Carreau du temple de Paris (75)

26 janvier 2018 : Festival Art Danse, Dijon (21)

08 mars 2018 : Festival Incandescances - Point Ephémère, Pau (64)

21 mars 2018 : C'le chantier, CENTQUATRE-104, Paris (75)

07 juin 2018 : Festival Tours d'horizons du CCN de Tours (37)

16 novembre 2018 : Festival FIMM [+] - Théâtre Le Vent des Signes, Toulouse (31)

29 novembre 2018 : Théâtre Jean-Vilar, Vitry-sur-Seine (94)

28 mars 2019: CDCN Le Gymnase, Roubaix (59)

05 avril 2019: Commanderie des templiers, Elancourt (78)

26 septembre 2019 : Etoile du Nord, Paris (75)

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